Prête-plume, je facilite le processus d’écriture en rédigeant tous types d’écrits ; en réécrivant vos textes et manuscrits afin d’en garantir la clarté ; ou en vous accompagnant dans vos projets littéraires.

Réécrire : les avantages dʼune relecture et dʼune réécriture

Quelle que soit la nature d’un écrit (roman, discours, biographie…), pour être parfaitement lu(e) et donc compris(e), il faut selon moi au préalable bien relire et réécrire son texte. Mon expérience de cinq années comme journaliste éditrice au journal Le Monde me l’a démontré. De plus, étant aussi rédactrice, j’ai conscience du fait qu’il n’est pas simple, lorsque l’on rédige, de savoir exactement ce qui va être perçu par les lecteurs ou le public visé. La polysémie de certains mots ou les contre sens pouvant joyeusement brouiller les pistes et la communication.

Entrent par ailleurs en compte les connaissances propres à chacun. Ainsi, nous croyons souvent qu’un mot, voire un paragraphe, sera intelligible par tous, alors qu’il ne le sera que par celles et ceux qui partagent avec nous un savoir dans tel domaine technique, économique, etc.

Clarifier le texte et en corriger les erreurs

Confier la relecture et la réécriture de son document ou manuscrit à un professionnel de l’écriture comme un prête-plume, c’est avoir l’assurance que les passages confus seront réécrits et donc corrigés afin que les informations véhiculées soient reçues sans interférence par leur destinataire. Par exemple, il est parfois nécessaire d’expliciter certains paragraphes et de faire œuvre de pédagogie, tout en veillant à ne pas globalement appauvrir le contenu rédactionnel.

Faire réécrire un texte de façon approfondie permet d’abord d’enlever les fautes de frappe, les fautes d’orthographe, les fautes de grammaire, de conjugaison ou les fautes de syntaxe et d’inattention (correction des coquilles). Il y a enfin les erreurs factuelles (concernant les dates ou des chiffres notamment), qu’il faut impérativement corriger. On est donc loin de la simple « compétence » du logiciel orthographique de correction de votre ordinateur…

Cette première étape est essentielle. Mais, attention, si j’ai de bonnes notions en correction et que je peux enfiler la casquette du correcteur au détour d’une phrase à retravailler, je ne suis pas correctrice ! Aussi j’encourage toujours les personnes avec qui je collabore, surtout si leur texte a vocation à être publié, à recourir ensuite aux services d’un correcteur ou d’une correctrice de métier afin de garantir le sans-faute et un parfait respect des règles de typographie.

Un rendu plus littéraire

Gommer les répétitions, enrichir le vocabulaire utilisé, jouer de la ponctuation et des possibles de la langue française, tout cela contribue grandement à la qualité littéraire d’un écrit. Ce qui accroît ses chances d’être lu dans son intégralité et apprécié.

Réécrire un texte, c’est aussi faire des choix et couper de la matière textuelle. Ou en ajouter. Certaines phrases gagnent à être ciselées. D’autres, au contraire, rallongées. Ce travail du style et du rythme au plus près de la forme doit être néanmoins effectué dans un seul but : servir le sens. Rédiger une belle phrase pour une belle phrase sans que l’on y comprenne rien est contre-productif ! Car, au lieu d’épater vos lecteurs, vous risquez de les perdre…

Une plus grande cohérence éditoriale

Pour les supports papier, le rewriteur/la rewriteuse (c’est-à-dire la personne en charge de la réécriture) peut s’assurer de la cohérence éditoriale d’une page. Celle-ci consiste à faire dialoguer ensemble l’article/le texte, les éléments de titraille (titres, sous-titres, etc.), les photos ou les infographies qui l’accompagnent de façon pertinente. Le visuel, la forme, ne doit pas toutefois prendre le dessus sur le fond. Tout est question d’équilibre.

Sur le Web, veiller au découpage d’un contenu rédactionnel en y intégrant, par exemple, un certain nombre d’intertitres qui l’aèrent et en facilitent la lecture, choisir des titres informatifs éclairants ou, au contraire pour ce qui est du Print, des titres percutants (incitatifs) donnera de l’impact à vos écrits et un rendu professionnel. Ce qui est très utile quand on désire soigner sa communication. Et son image.

La relecture, un regard extérieur pour mieux y voir

Recourir à un prête-plume représente enfin une aide non négligeable dès le début de la phase de rédaction. Il arrive en effet de buter sur un mot, un passage, ou que l’on ait du mal à trancher sur les informations à garder. Dans ce cas, la personne neutre (parce qu’objective), qui a la tâche de relire et de réécrire votre écrit sans avoir de lien direct avec ce dernier, saura trancher mais aussi relancer si besoin le processus d’écriture.

Ce rôle de lecteur-test lui permet de soulever de nombreuses questions de compréhension. Et de proposer des solutions concrètes afin d’y répondre pour améliorer votre texte ou manuscrit. Cette posture rejoint celle que j’adopte lorsque je propose un accompagnement et il n’est pas rare qu’une personne fasse appel à moi d’abord pour du conseil littéraire puis pour de la réécriture. L’inverse étant également vrai.

Manuscrit, thèse, discours, support de conférence